lundi 12 février 2018

ALDEH UNITE





Bonjour ! Je vous souhaite la bienvenue sur mon blog.
Ce blog vient de prendre sa racine suite à l’acceptation de mon don de médiumnité qui a cheminé durant cinq ans.

Je m’appelle Lysiane, j’ai 48 ans, je suis maman de deux enfants et j’ai divorcé il y a quatre ans.

J’ai été travailleur social durant 15 ans et c’est sur mon lieu de travail que ma vie a commencé à se transformer.

Mon travail durant les interventions sociales

Mon travail consiste à apporter des aides, une présence et une écoute dans le quotidien des familles qui rencontrent des problèmes divers  (précarité, maladies, coupure de lien social…)
J’accompagne ces personnes avec attention, empathie, douceur, de non jugement car leur chemin de vie a souvent été parsemé de rudes épreuves où le respect, l’affection et l’amour ont beaucoup manqué.

Un matin comme beaucoup d’autres matins et pourtant…

Ce matin du 18 avril 2013, je me lève comme beaucoup d'autres matins qui se ressemblent. Ce jour, je ressens et je sais que ce soir ma vie ne sera plus la même, que je ne pourrais rien faire pour l'empêcher! C'est un mélange de peur, d'angoisse, difficile à expliquer!
Je pense que je vais être victime d'un accident de la route. Je suis donc encore plus prudente que d'habitude au volant et le klaxon des autres voitures me fait comprendre à plusieurs reprises que je roule trop doucement. A force de vouloir être trop prudente, on occasionne parfois le contraire.

Un peu de poésie avant le grand choc

L'intervention de ce jour m'emmène dans une belle vallée. Les premières couleurs de cette belle saison réjouisse ma vue. La brume et la rosée dessine un paysage un peu mystique. Dans la nature tout est juste, tout est à sa bonne place, même un tronc d'arbre qui s'est détaché, ou une fleur qui pousse toute seule en plein milieu d'un champ.
Je sens une tristesse m'envahir, je me sens seule moi aussi comme cette pâquerette qui est isolée et qui vit le jour le jour. 
Cette tristesse m'accompagne durant ...je ne compte déjà plus les années. Ma vraie joie dans ma vie ce sont mes enfants, ils sont grands maintenant et ils sont prêts à voler de leurs propres ailes et c'est bien et juste ainsi!

Pas d’accident, j’arrive à bon port, ouf ! Oui, mais…

Les enfants de la famille m'attendent avec impatience, ce sont les vacances du printemps ou de Pâques c'est comme on veut. Nous projetons d'aller nous amuser dans le parc mais nous préférons attendre que le brouillard se dissipe et sèche les balançoires, ce sera plus agréable, mais cela n'arrivera pas!
Nous décidons de faire de la pâtisserie et les filles savourent déjà virtuellement les chouquettes qui vont sortir du four, mais cela n'arrivera pas non plus, les chouquettes ne cuiront pas!
Avant d'allumer le four, nous jouons au petit train qui emmène les filles à leur chambre pour qu'elles la rangent avant de déguster leurs délices préparées avec plaisir.
Ce matin, je ne trouve pas les allumettes, je comprends plus tard que cela valait bien pour moi.
Je prends l'allume gaz, tourne le bouton... une étincelle et la gazinière explose! Je suis violemment projetée en arrière, je pars un moment, je vois des choses bizarres, je me vois dans une sorte de tunnel, seule avec une chaleur qui m'entoure mais je ne peux pas rester. 
Il faut que je sauve cette famille car jamais je ne pourrais me pardonner d'avoir abandonné des enfants même si ces enfants ne sont pas mes enfants biologique, ma conscience professionnelle est grande!

Ce que mes collègues ont entendu durant 15 ans venant de ma part

Peu importe si les enfants sont blancs, noirs, jaunes, bleus, tous les enfants de la terre valent la peine qu'on leur apporte notre attention, que nous nous investissions pour eux et que nous leur apportons de l'affection car derrière notre profession nous restons des êtres humains.

Réactions de la famille

Quand les filles me voient elles sont très effrayées et je m'évanouie à nouveau pour revenir un peu plus tard et sentir des odeurs de poulets cramés, des douleurs très intenses dans mes yeux, mon visage, mes bras, mon torse, tout ce qui n'a pas  été couvert par les habits.
Le papa des enfants me dit que je n'ai plus de sourcils, ni de cils et que mes cheveux sont brûlés. J'ai un moment de panique, je pense à mon fils qui allait se marier dans quatre mois et moi sa maman qui l'aime tendrement, je ne voulais pas apparaître à son jour qui devrait être le plus beau jour de sa vie, en étant aveugle, défigurée ou cachée derrière un masque.

Il y a de l’animation dans le quartier

Les pompiers arrivent à plusieurs camionnettes car ils pensaient que tout l'immeuble avait sauté.
Ils m'appliquent un masque pour les grands brûlés, inspectent mon corps, mes oreilles et m'emmènent à l'hôpital.
Chaque personnel soignant laisse échapper la même phrase, "oh, mon Dieu, une explosion au gaz!"
On me laisse seul, un court instant et je me rends compte que j'ai des acouphènes, j'ai l'impression que quelqu'un est entré dans mon oreille me poser un sifflet qui est allumé en continue!
Les médecins m'expliquent qu'on ne pourra pas donner de diagnostic avant 48 heures car une explosion au gaz pouvait aggraver les séquelles d'ici ce laps de temps. J'ai vécu les 48 heures d'attente les plus longues de toute ma vie.
Ma cornée des yeux est légèrement brûlée mais ne devrait pas s'aggraver!

Ce qui a été le plus dur, je ne pouvais pas l'expliquer avec mes mots car je ne comprenais pas moi-même.

On se serait cru dans une pièce de théâtre

Je devais aller voir l'O.R.L. Dans la salle d'attente il ne restait que deux chaises de libre. Je prends place sur deux chaises, sur une chaise j'assoie mon corps et moi je m'assoie sur l'autre chaise. En fait, je me vois, je vois ce que je fais, je vois tous ces bandages, sur mon corps, cette suie qui sort du bandage du visage mais moi je ne suis plus dans mon corps, mon corps ne m'appartiens plus, mais qui suis-je, où suis-je, où vais-je?

Une dame entre dans la salle d'attente. Je me lève pour lui laisser ma place. Elle me dit de me rasseoir, l'air assez effrayé! Mais oui je ressemblais à une momie vivante, j'avais oublié. Elle voudrait s'asseoir sur la chaise où est assis mon corps, je l'empêche bien sûr, il ne fallait pas qu'elle me fasse mal. Elle dit calmement (valait mieux ne pas s'énerver, on ne sait jamais comment pourrait réagir une momie vivante) je me lèverais dès que la personne qui vous accompagne entre dans la salle d'attente. J'élève la voix et je dis qu'elle ne peut pas s'asseoir sur cette chaise car il y a déjà quelqu'un qui est assis dessus.

La secrétaire m'appelle de suite, non, non, je n'ai pas dit ça pour éviter d'attendre mon tour trop longtemps.

L'O.R.L inspecte mes oreilles et fait un audiogramme.
Il me dit que j'ai une chance inouïe, une chance incroyable et que je pouvais rentrer ouvrir le champagne et qu'avec un traitement de cortisone la baisse d'audition pourrait s'arranger, "soyez heureuse, vous n'êtes pas sourde."

Seule avec deux corps

Me revoilà seule avec deux corps, tout est modifié autour de moi, les voix, les espaces, le temps tout est différent, je suis perdue et j’ai peur.

Je pense avoir trouvé la solution

J'essaye de dormir car je pense m'évader de cette situation dans laquelle je me trouve, oublié ce choc et j’espère qu’en me réveillant je pourrais constater que tout n’a été qu’un mauvais cauchemar.
Mais je n'arrive pas à dormir on va dire tout au plus un quart d'heure par ci par là.
Toutes  les images, les odeurs, les ressentis tout revient en boucle.
En me réveillant, le cauchemar est toujours existant et je n’ose pas en parler, craignant que j’aille passer le reste du séjour hospitalier en psychiatrie.


Confrontation avec le miroir

Je me suis vue dans le miroir mais je ne me suis pas reconnue de suite j'ai demandé à la dame de sortir mais cette dame c'était moi!

Durant les 48 heures d’attente

Les bandages laissent apparaître des tâches brunes. On me prépare au pire, sans doute il y a des infections, des ampoules, des greffes de peau a envisagé.

Je prie, je demande que mon visage soit épargné et que je puisse à l'avenir me regarder dans le miroir sans prendre peur de moi-même.

Le jour de la fin de l’attente et de la vérité

Le jour j est arrivé, on enlève les bandages.
Les médecins ne comprennent pas, il n'y a pas une seule ampoule, aucune blessure, on aurait dit que je souffrais d'un gros coup de soleil. Miracle!

Ma peau va cicatricer mais je ne suis toujours pas retournée dans mon corps et je ne sais pas comment faire.

Intervention de la psychologue de service

Je fais appel à la psychologue de notre service. Elle me connaît depuis plusieurs années et je sais que je ne pourrais me confier qu'à elle. Ce sont les vacances scolaires et elle partit avec sa famille. Elle me propose de rentrer plutôt, ce que je refuse. Elle me reçoit dès son retour. 
Son chat est assis sur la deuxième chaise et jamais de ma vie j'aurais tant voulu être ce chat qui dormait paisiblement et qui ne semblait avoir aucun soucis.
Elle comprend de suite que j'avais besoin d'une seconde chaise et je savais que je pouvais lui parler.
J'avais du mal à expliquer, je pensais que j'étais folle. Elle m'explique que je suis entrée dans une autre dimension et que peu de personne n'y entre, que cela ne devait pas me faire peur car si je suis sortie de mon corps je saurais comment y retourner et que je devais explorer cette autre dimension.
C’est plus facile à dire qu’à faire !

Comment je m’y suis prise 

Je ne sais pas !
J'ai mis très longtemps à retourner dans mon corps et je me rappelle de certains jours où je suis allée nager, où j'ai testé mon corps jusqu'à l'épuisement car comme je n'y étais pas je ne ressentais pas la fatigue, je me voyais nager et je ne savais pas quand m'arrêter.

Ce qui s’est modifié dans ma vie

Lorsque vous êtes si proche de la mort, vous ne pouvez plus voir les choses de la même manière.
Vous commencer tout d’un coup à ne plus accepter des choses inacceptables.
Vous faites le bilan de votre vie et vous vous autorisez à reconnaître et à voir ce qui ne va pas et surtout vous avez envie de le changer car vous arriver à la conclusion que si vous ne le faites pas il valait mieux
mourir.

L'expérience de la proximité de la mort m'a fait un don de la vie avant la mort.

Une petite voix intérieure ?

J'entendais ma grand-mère paternelle me parler, elle est pourtant décédée depuis 9 ans. Je me disais:" c'est elle qui m'a élevée, choyée, aimée, gâtée et c'est normal que cette voix intérieure se révèle à moi, après ce grand choc.
Mais cette voix est venue de plus en plus souvent, elle est devenue de plus en plus présente et avec elle cet amour que je connaissais, cet amour qu'elle m'a donné et qui était si bon de ressentir.

Elle me fait comprendre que ma tristesse est si grande et qu'il faut que je change des choses dans ma vie pour retrouver le sourire et croire en des jours meilleurs.
Je lui fais confiance même si ce n'est pas du tout en accord avec mes croyances. Je quitte donc le foyer, j'entame une procédure de divorce car la seule chose qui m'y a rattaché ce sont mes enfants qui ont quitté le nid et qui volent maintenant de leurs propres ailes.

Jusqu’à ce que la mort vous sépare ?

Oui ,27 ans de mariage, ce n'est pas rien, mais faut-il continuer de vivre une vie de couple qui n'apporte plus rien? Le mariage dit, vous êtes unis jusqu'à ce que la mort vous sépare, comme cette phrase est horrible! Il faudrait plutôt dire jusqu'à ce que l'amour vous sépare cela culpabiliserait moins les couples.

Les croyances

Nous grandissons avec des croyances qui nous permettent de nous construire, c’est une sorte d’héritage de nos parents.
Mais il arrive qu’à un moment de notre vie ces croyances ne sont plus justes avec ce que nous ressentons, elles nous font plus de mal que de bien. Nous pouvons à ce moment là déposer cet héritage pour aller sur un chemin qui nous rends heureux qui est en accord avec nous-mêmes et parce que nous avons le droit de faire nos propres choix.
Nous ne dépendons plus de nos parents, ni de leurs propres idées où convictions, nous sommes libres de nos actes et de nos pensées et nos enfants feront eux également le tri de ce que nous leurs avons transmis.

Je prends la décision de vivre plus heureuse, enfin c’est un commencement !

Ma grand-mère me dit qu’elle va m’accompagner sur ce nouveau chemin.
Je prends la décision de suivre tout ce que ma grand-mère me dit de faire.
J’entame une procédure de divorce, je déménage, je me découvre, j’ai l’impression que je ne me connais pas.
Je pense pouvoir reprendre une vie tout à fait normal, Mais hélas, non !

Nouveau logement

Dans ces nouvelles pièces, je n’entendais pas uniquement la voix de ma grand-mère mais d’autres voix et j’étais effrayée !
Je me cachais sous les couvertures, je désertais mon appartement, je suppliais de me laisser tranquille.
Tout cela n'était pas en accord avec moi, n'existait pas, je rêvais, je n'étais qu'une folle qui avait une imagination dépassée.

Consultation chez un chiropracteur

Suite à un blocage dans le dos (oui, lorsque l’on refuse de voir des choses, le corps parle à la place!)
Le chiropracteur m'explique que mon septième chakra est très développé.
Je lui explique à mon tour que effectivement, j'avais beaucoup de chagrin ces dernières années. Je n'ai jamais entendu parler de chakra.
Il fait de grands yeux, et m'explique que si le septième chakra est autant développé c'est qu'il y a un don au niveau spirituel.
Il essaye d'en savoir plus mais je fais mon innocente pensant qu'il va me livrer à la prochaine psychiatrie.
Il me conseille fortement de ne pas rester seule mais de me faire accompagner par des personnes qui perçoivent des choses similaires. Je ne l'écoute pas.
Des visions, des rêves prémonitoires, des perceptions de plus en plus visibles s'ouvrent à moi et j'ai de plus en plus de difficultés à le gérer. J'ai peur et je reste seule avec mes peurs

Côté professionnel

Au travail, il y a de plus en plus de soucis et là aussi je n'arrive plus à gérer car des situations font écho à ce que j'ai vécu dans mon couple.

Je me réveille un matin et je tombe, je tombe et mon corps décide de ne plus vouloir avancer c'est encore le corps qui parle.
Je suis hospitalisée et on me parle de burn-out.(voir burn-out dans la colonne de droite)
Les médecins me proposent un traitement chimique que je refuse, ne
voulant pas devenir dépendante d’un quelconque traitement.


Une personne est placée sur mon chemin

Il n’est pas anodin que des personnes sont placées sur notre chemin pour un but bien précis et pour nous permettre d’avancer sur la voie qui est la nôtre.
J’ai fait une des plus belles rencontre de ma vie.
Cette femme me soigne à travers des soins énergétiques, (voir soins énergétiques dans la colonne de droite) tout d’abord mon corps qui a refusé d’avancer de long mois, causant nombreuses chutes dû à des vertiges. Et puis elle a soigné mon esprit car on ne peut jamais dissocier le corps et l'esprit.
Cette femme vit aussi avec des dons et elle a vu de suite que je vais consacrer mon métier futur à la guidance de la médiumnité et que je vais venir en aide aux personnes non plus à travers le social mais grâce à mon don.
Cela mettra deux ans, jusqu’à ce que j’accepte ce don.
J'ai fait d'autres rencontres extraordinaire dont je suis heureuse et reconnaissante.

Ce que les soins m'ont apportés personnellement

Les soins énergétiques m'ont apporté une sérénité, m'ont aidé à me relaxer. Je suis capable de mieux agir dans ma vie car je suis devenue acteur de ma propre vie, je peux agir sans toujours avoir besoin des autres. J'ai acquis des outils pour m'aider à trouver des solutions, ma pensée est devenue plus positive et j'ai découvert une richesse intérieure qui me procure une réelle joie.
Beaucoup de nœuds se sont dénoués. Mon cœur s'est ouvert et si le cœur s'ouvre le reste suit. 
J'arrive à me recentrer et non à me crisper sur une problématique. Je sais enfin prendre soin de moi, m'accepter tel que je suis, à m'aimer, à me faire du bien, à penser à moi, à m'accorder du bon temps sans culpabiliser. Je suis sortie d'une période très difficile pour renaître et être ce que je suis intérieurement, trouver le bien être, la pensée positive et l'utiliser tous les jours.


Ce qui m’a le plus freiné : la peur

J’ai eu beaucoup de perceptions, de visions, de ressentis étant enfant.
On n’a pas arrêté de me dire que je devais cesser de raconter des bêtises et une  gifle me l’a fait comprendre très longtemps.

Aujourd’hui j’assume que je suis médium et que c’est de cette façon que j’aiderais les personnes qui viennent à moi dans la douceur, la compréhension, le non jugement et dans le respect, je transmets les messages des personnes défuntes, je suis un messager.
Si j’avais fait le choix de renier ma médiumnité, j’aurais repoussé mes capacités et je me serais renier moi-même.
Si j’ai fait ce choix c’est qu’il est juste pour moi, même si le travail d’acceptation a été très long, car il faut mettre des murs entre les émotions et les capacités, apprendre à s’écouter en profondeur même si cela ne plaît pas aux autres.
La peur a été le plus grand frein. Lorsque j’ai déposé ma peur, tout allait mieux car finalement les choses que je perçois se trouve à une bonne distance, c’est un élargissement de mon ressenti.
Il faut tout de même rester connecter à la réalité, garder les pieds sur terre, ne pas se prendre pour quelqu’un de supérieur, restez en phase avec soi-même, il ne s’agit pas de s’oublier ou de souffrir pour les autres.

Si quelqu’un ne croit pas à la médiumnité !

Ce choix lui appartient complètement, chacun est libre de penser ou de croire ce qui lui convient ou ce qu’il a besoin de croire.
Il n’est pas à juger comme moi je ne suis pas à juger.

La mort, un sujet tabou ?

Je pense que la mort est devenue un sujet tabou.
Je trouve qu’on enterre nos morts très rapidement et de ce fait on enterre nos sentiments avec.
J’ai perdu ma grand-mère maternelle lorsque j’avais 6ans. Ce souvenir est présent et aussi vivant 42 ans plus tard.
Il y avait des rituels ( garder le défunt trois jours à la maison, faire des soirées de prières, les voisins portaient le cercueil et exprimaient les condoléances, on portait le deuil avec la couleur noire pour rendre visible que la personne est plus fragile… et les enfants assistaient à l’enterrement, car on a compris que la mort fait partie de la vie et qu’on n’épargne pas les enfants en les laissant à la maison, il font leurs expériences, ils sont soutenus, encadrés et ils voient que la vie continue.

La médiumnité dégage-t-elle une peur ?

Eh, oui ! moi, j’ai été bien effrayé, et je comprends que d’autres personnes puissent ressentir la même chose.

Mais allons un peu plus loin dans la réflexion.

Où est le mal à penser qu’il y a une vie après la mort ?
Les chrétiens parlent bien de la vie éternelle !
La vie éternelle est la survie de notre âme à jamais, les tombes ne renferment que les corps.
Où est le mal de croire que les ancêtres veillent sur nous, qu’ils nous guident, qu’ils savent ce qui est juste pour notre chemin futur ?
Où est le mal d’avoir besoin de connaître la suite de notre chemin, d’être rassuré, d’avoir des messages, des indices, des clés qui ouvrent des portes en nous pour nous permettre de mieux avancer, de baisser des barrières… ?

Les choses peuvent changer!

Il est important de ne pas oublier que rien n'est figé dans la vie, tout se fait dans le temps, un pas à la fois. La vie est toujours en devenir et on peut devenir ce que l'on veut, du moment que cela est ce qu'on désire vraiment.
Changer ses pensées, c'est changer le comportement, ce qui a pour effet de changer notre vie.

Nous avons le choix de nourrir le positif ou de nourrir le négatif.
Une attitude positive nous donne la confiance de surmonter les problèmes qui surviennent sur notre route.

Un esprit joyeux est le meilleur des médicaments, alors cultivons la joie, le calme et des actes positifs pour une santé fortifiante.




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